היום בו הסוציאליסטים רקדו והחקלאים זעמו

Emmanuel Macron s'exprime ce jeudi 5 décembre à 20 heures après avoir accepté la démission de son Premier ministre, victime d'une motion de censure historique. Trois mois jour pour jour après la nomination de Michel Barnier à Matignon, le président de la République doit s'atteler à lui trouver unsuccesseur. Son nom sera annoncé "dans les prochains jours".

Au lendemain d'une motion de censure historique, Emmanuel Macron a pris la parole jeudi 5 décembre au soir pour remercier son ancien Premier ministre et promettre un nouveau gouvernement "dans les prochains jours". Mais à ce jour, un point de blocage persiste toujours sur le nom de son futur chef.

Quelques heures après avoir accepté la démission de Michel Barnier, renversé par une majorité de députés, le président de la République s’est adressé ce jeudi soir aux Français. Un retour au premier plan après une période de retrait de la scène nationale.

Le chef de l’Etat s’est exprimé, jeudi 5 décembre, lors d’une allocution télévisée. Tentant de rassurer les Français, inquiets du chaos provoqué par la chute du gouvernement, il s’est engagé à nommer un premier ministre « dans les prochains jours ».

Baptisé et confirmé dans l’Église protestante presbytérienne, le président se définit comme un chrétien non affilié. Toutefois, ses affinités avec les catholiques – qui ont largement voté pour lui – sont évidentes.

Le président de la République espère pouvoir nommer dans les prochains jours un Premier ministre à la tête d'un "gouvernement d’intérêt général". Il reçoit à l'Élysée ce vendredi les chefs du PS, de LR et de son camp, mais pas des écologistes, des insoumis et du Rassemblement national.

Dans la petite ville de Suceava, dans le nord de la Roumanie, de nombreux Ukrainiens ont fui la guerre. Mais la qualification pour le second tour de l'élection présidentielle du prorusse Calin Georgescu, ainsi que la poussée de l'extrême droite aux législatives, installent un climat de défiance.

Le chef de l’Etat s’est exprimé, jeudi, lors d’une allocution télévisée. Il s’est engagé à nommer un premier ministre « dans les prochains jours » après la censure historique du gouvernement Barnier.

Le dirigeant ukrainien n'exclut pas une perte temporaire de contrôle sur des territoires ukrainiens occupés par la Russie, contre des garanties de protection de l'Otan. Mais il espère les "récupérer" par "la voie diplomatique".

Lundi, le président de la République le certifiait à ses amis : dans sa quête d’un Premier ministre, il serait, cette fois, guidé par une exigence de rapidité et une volonté de rester au-dessus de la mêlée. Qui y a cru ?

ENQUÊTE. Ce mode opératoire, sous-évalué faute de dépôt de plainte, consiste à faire ingérer des substances psychoactives aux victimes, majoritairement des femmes, des enfants et des personnes âgées.

Le chef de l’Etat, qui a exclu toute démission après la censure du gouvernement Barnier, doit recevoir ce matin les dirigeants de son ancienne majorité puis ceux du PS et du parti Les Républicains.

Le chef de l’Etat, qui a exclu toute démission après la censure du gouvernement Barnier, doit recevoir ce matin les dirigeants de son ancienne majorité puis ceux du PS et du parti Les Républicains.

Le président de la République reçoit plusieurs responsables politiques ce vendredi 6 décembre à l'Élysée. Il doit, dans les prochains jours, annoncer le nom du successeur de Michel Barnier, censuré par l'Assemblée nationale.

DÉCRYPTAGE - Le premier ministre démissionnaire avait mentionné un recul de 14% des tarifs réglementé de vente au 1er février pour les particuliers.

Suivez avec nous toutes les infos sur la politique en France en ce vendredi 6 décembre 2024, alors qu’Emmanuel Macron est en quête d’un nouveau Premier ministre après la motion de censure historique qui a fait chuter Michel Barnier

Emmanuel Macron, qui a promis la nomination d’un nouveau premier ministre « dans les prochains jours », doit recevoir dans la journée les dirigeants de son ancienne majorité, puis ceux du PS et du parti Les Républicains.

Olivier Faure, qui sera reçu dans la journée par Emmanuel Macron, a demandé au président de nommer « un préfigurateur » qui organiserait cette négociation sur la base « de concessions réciproques ». Le chef de l’Etat a promis la nomination d’un premier ministre « dans les prochains jours ».

L’ÉDITO DE PIERRE-ANTOINE DELHOMMAIS. Auchan, Michelin, Valeo… Les plans sociaux s’accumulent en France, assombrissant le bilan vanté par Emmanuel Macron.

Sépultures mystérieuses et fragments de jubé par centaines... à Notre-Dame de Paris des fouilles providentielles

Emmanuel Macron s'est dit jeudi à la recherche d'un «arc de gouvernement» et a promis la nomination d'un nouveau Premier ministre «dans les prochains jours». Il reçoit ce vendredi les chefs parlementaires de son propre camp, du PS et des LR.

Cinq ans et demi après l'incendie qui a ravagé Notre-Dame-de-Paris, l'enquête pour déterminer l'origine du feu touche à sa fin. L'hypothèse accidentelle est plus que privilégiée.

Deux jours après la chute du gouvernement Barnier, le Président reçoit ce vendredi 6 décembre des dirigeants politiques, allant du PS aux LR, en passant par ceux de son camp en vue de la formation d’«un gouvernement d’intérêt général».

INTERVIEW. L’auteur des « Piliers de la terre » publie de nouveau son ode à la cathédrale, à la veille de sa réouverture. Conversation au coin du feu.

Après la censure de Michel Barnier, Emmanuel Macron a promis jeudi soir la recherche d’un nouvel "arc de gouvernement".

Blagues graveleuses, remarques sexistes, harcèlement sexuel ou encore agressions… Le Syndicat de la magistrature a publié ce jeudi une enquête sur les violences sexuelles et sexistes au sein de l’institution judiciaire

Le président de la République reçoit plusieurs responsables politiques ce vendredi 6 décembre à l'Élysée. Il doit, dans les prochains jours, annoncer le nom du successeur de Michel Barnier, censuré par l'Assemblée nationale et a évoqué un gouvernement d'"intérêt général" allant des socialistes aux Républicains. Le PS évoque de possibles "concessions réciproques" mais Bruno Retailleau explique qu'il ne pourra faire aucun compromis avec la gauche".

ANALYSE. Mine sombre et fermée, le chef de l’État a dénoncé le « front antirépublicain » à l’origine de la censure et a laissé entendre qu’il allait se replacer au centre du jeu.

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Le président regrette que sa décision de dissoudre l'Assemblée n’ait pas été comprise. Une étrange inversion des rôles, ou un jeu de dupes.

Il est urgent… de ne pas nommer un Premier ministre

Le président de la République reçoit plusieurs responsables politiques ce vendredi 6 décembre à l'Élysée. Il doit, dans les prochains jours, annoncer le nom du successeur de Michel Barnier, censuré par l'Assemblée nationale et a évoqué un gouvernement d'"intérêt général" qui pourrait aller des socialistes aux Républicains. Le PS évoque de possibles "concessions réciproques" mais Bruno Retailleau explique qu'il ne pourra faire "aucun compromis avec la gauche".

Deux jours après la chute du gouvernement Barnier, le Président reçoit ce vendredi 6 décembre des dirigeants politiques, allant du PS aux LR, en passant par ceux de son camp en vue de la formation d’«un gouvernement d’intérêt général».

La présidente de la Commission européenne sera-t-elle celle qui redonnera de l’oxygène au président et remettra du consensus en France en hâtant la signature avec le Mercosur ?

Le président de la République reçoit plusieurs responsables politiques ce vendredi 6 décembre à l'Élysée. Il doit, dans les prochains jours, annoncer le nom du successeur de Michel Barnier, censuré par l'Assemblée nationale et a évoqué un gouvernement d'"intérêt général" qui pourrait aller des socialistes aux Républicains. Le PS évoque de possibles "concessions réciproques" mais Bruno Retailleau explique qu'il ne pourra faire "aucun compromis avec la gauche".

Les avocats de la défense ont tenté de mettre à mal les accusations du parquet, jeudi, et réclamé la relaxe pour cinq des six prévenus

Deux jours après la chute du gouvernement Barnier, le Président reçoit ce vendredi 6 décembre des dirigeants politiques, allant du PS aux LR, en passant par ceux de son camp en vue de la formation d’«un gouvernement d’intérêt général».

Le président de la République reçoit plusieurs responsables politiques ce vendredi 6 décembre à l'Élysée. Il doit, dans les prochains jours, annoncer le nom du successeur de Michel Barnier, censuré par l'Assemblée nationale et a évoqué un gouvernement d'"intérêt général" qui pourrait aller des socialistes aux Républicains. Le PS évoque de possibles "concessions réciproques" mais Bruno Retailleau explique qu'il ne pourra faire "aucun compromis avec la gauche".

Après la censure de Michel Barnier, le chef des socialistes, Olivier Faure, a assuré qu'Emmanuel Macron n'a "absolument pas" demandé au PS de se détacher de LFI, et que le président n'a "posé aucun préalable sur aucun sujet"

Deux jours après la chute du gouvernement Barnier, le Président reçoit ce vendredi 6 décembre des dirigeants politiques, allant du PS aux LR, en passant par ceux de son camp en vue de la formation d’«un gouvernement d’intérêt général».

Présente au sommet des pays du Mercosur à Montevideo depuis jeudi, la présidente de la Commission européenne a tenu à faire avancer l'accord de libre-échange UE-Mercosur.

Deux jours après la chute du gouvernement Barnier, le Président reçoit ce vendredi 6 décembre des dirigeants politiques, allant du PS aux LR, en passant par ceux de son camp en vue de la formation d’«un gouvernement d’intérêt général».

«Nous avons conclu les négociations pour l’accord UE-Mercosur. Cela marque le début d’une nouvelle histoire», s’est félicitée la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

L’Union Européenne et les pays du Mercosur ont annoncé ce vendredi 6 décembre avoir finalisé le décrié accord commercial de libre échange.

L’Union Européenne et les pays du Mercosur ont annoncé ce vendredi 6 décembre avoir finalisé le décrié accord commercial de libre échange.

Le candidat d’extrême droite, Calin Georgescu, était arrivé en tête, à la surprise générale, au premier tour du scrutin présidentiel.

Agriculture, industrie, climat… quels seraient les gagnants et les perdants de l’accord UE-Mercosur ?

Depuis Montevideo, en Uruguay, Ursula von der Leyen a annoncé que les négociations entre le Vieux-Continent et les pays du Mercosur avaient abouti, ce qui a déclenché la colère de la France.

Le chef de l'État a défendu ce jeudi 6 décembre une coalition qui irait de la droite aux socialistes avec l'espoir de parvenir à nommer un nouveau gouvernement "d'intérêt général". La formule laisse sceptique son propre camp qui peine à voir une sortie de crise.

« Nous avons conclu les négociations pour l’accord UE-Mercosur. C’est le début d’une nouvelle histoire. Je me réjouis maintenant d’en discuter avec les pays européens », a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Si l’accord a été salué par le chancelier allemand, en France l’opposition au projet demeure.

Olivier Faure, reçu vendredi à l’Elysée, a assuré qu’Emmanuel Macron n’a « absolument pas » demandé au Parti socialiste (PS) de se détacher de La France insoumise. Le premier secrétaire du PS a affirmé ce matin que son parti était prêt à négocier avec les macronistes et Les Républicains, ce qui lui a valu les critiques de membres du Nouveau Front populaire.

LA DETTE PUBLIQUE EN 6 QUESTIONS (3/6). La grosse dette qui monte, qui monte… Mais comment expliquer cette envolée ?

La présence du prochain président américain à la réouverture de la cathédrale rappelle comment sa carrière politique est indissociable de la religion : de la droite catholique jusqu’aux nouvelles croyances chrétiennes qui se développent dans le pays.

Le passage de la tempête de l’Angleterre à la Belgique va occasionner « un net renforcement » du vent en France, prévient Météo France.

« Nous avons conclu les négociations pour l’accord UE-Mercosur. C’est le début d’une nouvelle histoire. Je me réjouis maintenant d’en discuter avec les pays européens », a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Si l’accord a été salué par le chancelier allemand, en France l’opposition au projet demeure.

Les rebelles syriens font reculer le régime de Bachar al-Assad de manière irrésistible, profitant de la faiblesse de ses alliés, la Russie et de l’Iran. Mais le président syrien peut-il vraiment tomber ?

Alors que la situation atteindra bientôt un seuil critique pour les deux pays belligérants, un armistice se profile, à défaut de la paix.

Olivier Faure, reçu vendredi à l’Elysée, a assuré qu’Emmanuel Macron n’a « absolument pas » demandé au Parti socialiste (PS) de se détacher de La France insoumise. Le premier secrétaire du PS a affirmé ce matin que son parti était prêt à négocier avec les macronistes et Les Républicains, ce qui lui a valu les critiques de membres du Nouveau Front populaire.

Après avoir voté la motion de la gauche, le Rassemblement national se retrouve isolé sur la scène politique, avec le risque de peser moins que prévu sur un nouveau gouvernement.

La présidente de la Commission européenne a annoncé que les négociations sur ce traité de libre-échange avaient abouti, mais les Etats membres et le Parlement européen doivent encore se prononcer.

« Nous avons conclu les négociations pour l’accord UE-Mercosur. C’est le début d’une nouvelle histoire. Je me réjouis maintenant d’en discuter avec les pays européens », a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Si l’accord a été salué par le chancelier allemand, en France l’opposition au projet demeure.

Suivez avec nous toutes les infos sur la politique en France en ce vendredi 6 décembre 2024, alors qu’Emmanuel Macron est en quête d’un nouveau Premier ministre après la motion de censure historique qui a fait chuter Michel Barnier

REPORTAGE. « Le Point » a eu le privilège de déambuler à l’intérieur de la cathédrale avant sa réouverture officielle, après cinq ans de travaux.

Même quand la corruption apparaît en géant dans des sondages dont le monde politico-journalistique est généralement friand, personne ne veut la regarder en face. Mediapart a donc épluché au jour le jour les affaires des dernières semaines. L’inventaire parle de lui-même.

Emmanuel Maron a commencé à recevoir des responsables politiques à l'Élysée. Il doit dans les prochains jours annoncer le nom du successeur de Michel Barnier, censuré par l'Assemblée. Le chef de l'État a évoqué un gouvernement d'"intérêt général" qui pourrait aller du PS aux LR.

Olivier Faure, reçu vendredi à l’Elysée, a assuré qu’Emmanuel Macron n’a « absolument pas » demandé au Parti socialiste (PS) de se détacher de La France insoumise. Le premier secrétaire du PS a affirmé ce matin que son parti était prêt à négocier avec les macronistes et Les Républicains, ce qui lui a valu les critiques de membres du Nouveau Front populaire.

Le président du MoDem « ferait un bon premier ministre », a estimé Bernard Cazeneuve, ancien chef de gouvernement de François Hollande.

Emmanuel Maron a commencé à recevoir des responsables politiques à l'Élysée. Il doit dans les prochains jours annoncer le nom du successeur de Michel Barnier, censuré par l'Assemblée. Le chef de l'État a évoqué un gouvernement d'"intérêt général" qui pourrait aller du PS aux LR.

Reçu vendredi à l’Elysée, le patron du PS Olivier Faure envisage un accord de «non-censure» avec le futur Premier ministre, comme les Ecologistes et le PCF. Isolés à gauche, les insoumis dénoncent une compromission.

« Maintenant, à qui on va avoir affaire ? » : après la motion de censure, des agriculteurs visent des permanences de députés

Emmanuel Maron a commencé à recevoir des responsables politiques à l'Élysée. Il doit dans les prochains jours annoncer le nom du successeur de Michel Barnier, censuré par l'Assemblée. Le chef de l'État a évoqué un gouvernement d'"intérêt général" qui pourrait aller du PS aux LR.

La Commission européenne a conclu ce vendredi 25 ans de négociations avec les pays du Mercosur alors que la France, opposée à cet accord de libre-échange, est en pleine crise politique. Pour le monde agricole, après l’abandon du budget, la coupe est pleine.

La classe politique française s’est indignée de la conclusion par la Commission européenne de l’accord commercial visant à supprimer la majorité des droits de douane entre l’UE et les pays sud-américains du Mercosur.

Invités par Emmanuel Macron à l’Elysée, les socialistes lui ont exposé une méthode de sortie de crise politique basée sur des compromis déjà en discussion. Coulisses.

Depuis la chute du gouvernement Barnier, Emmanuel Macron a convié le président du MoDem à deux reprises à l’Élysée, notamment jeudi pour un déjeuner en tête-à-tête. Jamais l’option Bayrou pour Matignon n’avait été aussi sérieusement envisagée par le président. Même si, chez LR, certains sont très réticents.

Plusieurs étapes des célébrations devaient se dérouler sur le parvis de l'édifice samedi, dont un grand concert et un discours d'Emmanuel Macron.

Emmanuel Maron a commencé à recevoir des responsables politiques à l'Élysée. Il doit dans les prochains jours annoncer le nom du successeur de Michel Barnier, censuré par l'Assemblée. Le chef de l'État a évoqué un gouvernement d'"intérêt général" qui pourrait aller du PS aux LR.

Le président du MoDem « ferait un bon premier ministre », selon Bernard Cazeneuve, ancien chef du gouvernement de François Hollande. Les socialistes « ne participeront pas » à un gouvernement dirigé par François Bayrou, a affirmé, pour sa part, Patrick Kanner, le président du groupe socialiste au Sénat.

Avec son étiquette de dénicheur de talents, le festival rennais attire un public curieux et fidèle sans aucune tête d’affiche

Le président du MoDem « ferait un bon premier ministre », selon Bernard Cazeneuve, ancien chef du gouvernement de François Hollande. Les socialistes « ne participeront pas » à un gouvernement dirigé par François Bayrou, a affirmé, pour sa part, Patrick Kanner, le président du groupe socialiste au Sénat.

La cérémonie de réouverture de Notre-Dame, prévue ce samedi 7 décembre, se déroulera à l'intérieur de la cathédrale en raison de la météo.

Si le Président n’a posé «aucun préable sur aucun sujet» avant de rencontrer le trio socialiste à l’Elysée ce vendredi 6 décembre, cinq dossiers menacent déjà de nuire aux discussions entre les deux parties.

LA CHRONIQUE CHAMPÊTRE. Douché par la chute du gouvernement, le mouvement de contestation des agriculteurs français s’essouffle, malgré la finalisation de l’accord avec le Mercosur.

Le président du MoDem « ferait un bon premier ministre », selon Bernard Cazeneuve, ancien chef du gouvernement de François Hollande. Les socialistes « ne participeront pas » à un gouvernement dirigé par François Bayrou, a affirmé, pour sa part, Patrick Kanner, le président du groupe socialiste au Sénat.

« Nous sommes prêts à gouverner sur le programme pour lequel nous avons été élus », a écrit, vendredi soir dans un communiqué, le coordinateur national de LFI, Manuel Bompard, ajoutant qu’« aucune discussion autre que la nomination d’un gouvernement du Nouveau Front Populaire ne saurait avoir lieu avec le chef de l’État ».

Ce vendredi, le club de la capitale, en déplacement en Bourgogne, n’a pas réussi à s’imposer malgré une domination orgiaque. Avec un but en trois matchs, il manque totalement de talent et de tranchant dans le secteur offensif.